Un sportif veut poursuivre Twitter pour avoir révélé ses infidélités

Un footballeur britannique, dont l'identité demeure secrète, a fait des infidélités à son épouse. Seulement, son comportement a été révélé sur le site Twitter. Aujourd'hui, il veut aujourd'hui en savoir plus sur ceux qui ont divulgué les informations.

Un sportif professionnel, marié, a eu quelques écarts de conduites. Ce footballeur britannique a vu son comportement dénoncé et son identité révélée sur le site de micro-blogging Twitter, qu'il veut désormais poursuivre, rapporte le site de 20min.

Le fautif veut en savoir plus sur ceux qui ont répandu l'information via le réseau. Il estime que ces révélations sur son comportement sont contraires à une décision judiciaire prise au préalable et qui interdisait la presse de révéler cette affaire, ont expliqué ses avocats. En effet, le footballeur avait eu recours à une procédure judiciaire spéciale pour ne pas que la presse révèle sa relation avec une candidate de téléréalité... Twitter serait donc responsable de cette fuite.

Pas de commentaire de la part de Twitter.

"Une demande a été faite pour obtenir des informations limitées concernant l'usage illégal de Twitter par un petit nombre d'individus qui pourraient avoir enfreint une décision de justice", ont annoncé les avocats du footballeur dans un communiqué vendredi 20 mai. Twitter n'a pas souhaité s'exprimer suite à ces accusations. Le porte-parole du site n'a pas souhaité faire de commentaire, d'autant qu'un débat se tient actuellement sur ces décisions de "censure". À la demande d'une personnalité, la presse peut être interdite de diffusion d'information ("injonction") ou de mention de la procédure ("super injonction").

Les autorités judiciaires britanniques ont publié vendredi un rapport pour que les procédures soient réduites "au strict nécessaire", que les audiences soient publiques et les médias informés à l'avance. Le footballeur et ses avocats sont donc toujours en attente de résultats par rapport à leur démarche... De son côté, le sportif a peut-être tiré de cette mésaventure une certaine leçon.

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Le jeu vidéo sur internet attire des ténors du divertissement

Le secteur des jeux vidéo gratuits sur internet est depuis plusieurs années en plein essor, au point d'attirer désormais des grands noms du divertissement comme les américains Disney ou Electronic Arts, au moment où le marché du jeu historique stagne.

Owlient, Kobojo ou Bigpoint sont moins connus que Nintendo, Sony ou Microsoft mais ils représentent plusieurs millions de joueurs dans le monde.

Contrairement au marché historique du jeu vidéo, qui repose sur l'acquisition d'un titre coûtant en moyenne 60 euros, leur modèle économique baptisé« free-to-play» est fondé sur un accès gratuit, avec l'achat facultatif au coup par coup d'objets pouvant faciliter la progression.

«Nous enregistrons chaque année une progression de notre chiffre d'affaires qui tourne autour de 70%», explique à l'AFP Olivier Issaly, PDG de l'éditeur français Owlient, qui a participé à la deuxième Web Game Conference organisée jeudi dans le quartier d'affaires de la Défense près de Paris.

Son studio, créé en 2005 et qui a engrangé l'an passé des revenus de 5,3 millions d'euros, revendique deux millions de joueurs actifs chaque mois, et il escompte que «cela va continuer au cours des prochaines années».

Les coûts de développement des jeux gratuits sont bien moindres que ceux des productions sur consoles, qui peuvent se compter en dizaines de millions de dollars, mais les retombées sont tout aussi incertaines.

«Si le jeu n'est pas bon, les gens s'en détournent et il reste des serveurs à payer», souligne Nicolas Gaume, président du Syndicat national du jeu vidéo (SNJV), qui rassemble les professionnels français de cette industrie.

Le pari d'Owlient était loin d'être gagné: «Quand on s'est lancé en 2005, le "free-to-play", qui a émergé en Asie, en était à ses débuts en Europe et était inexistant aux États-Unis. Après 2007-2008, quand Facebook a explosé, le marché a connu un vrai coup d'accélérateur», se souvient M. Issaly.

Cette croissance, que la crise de 2008 n'a pas affectée alors que le jeu vidéo classique a souffert, a depuis attiré des grands groupes du milieu du divertissement, qui se sont positionnés sur le secteur.

«C'est un modèle qui n'est pas facile pour les entreprises anciennes qui doivent se réinventer mais qui peut être rentable pour celles qui ont commencé par là», décrypte le président du SNJV pour justifier cette consolidation.

Ces derniers mois, Disney a ainsi racheté l'éditeur Playdom, spécialisé dans les jeux pour réseaux communautaires sur internet, pour 536,2 millions de dollars, plus un total pouvant aller jusqu'à 200 millions de dollars si certains objectifs sont atteints.

Bigpoint, numéro un allemand du secteur avec 185 millions de joueurs enregistrés, va pour sa part passer sous le contrôle de deux fonds américains qui y injectent 350 millions de dollars.

Le géant du jeu vidéo américain Electronic Arts, numéro deux mondial derrière Activision-Blizzard, a lui commencé à mettre en avant Easy Studios, son développeur spécialisé dans les jeux gratuits.

Si les États-Unis sont en pointe sur le secteur, la France peut se targuer d'occuper la deuxième place, se réjouit M. Gaume, qui soulève au passage la difficulté à lutter économiquement contre d'autres pays.

«Nous sommes souvent vus comme des sociétés de services mais nous sommes des industriels, certes sans usines. On rencontre donc des problématiques bien connues comme la disparités des salaires entre les différentes régions du monde par exemple», détaille-t-il.

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Avec l'IDAPT i4, ne changez plus jamais de chargeur

La société IDAPT vient de mettre en vente son tout nouveau chargeur universel, compatible avec plus de 4000 appareils portables différents.

Si vous avez plus de chargeurs que de prises électriques, lIDAPT i4 va vous changer la vie. Créé par IDAPT, ce chargeur universel a une particularité : il est compatible avec plus de 4000 appareils portables différents ! Doté de trois points de charge et d'un port USB, il permet ainsi de charger quatre appareils en même temps.

S'il est livré avec six des adaptateurs les plus prisés (miniUSB, microUSB, iPod/iPhone, Samsung 4, Nokia 2, Sony Ericsson 2), ces derniers peuvent être personnalisés à l'achat via la boutique en ligne d'IDAPT, et ce sans coût supplémentaire. Fort de ces atouts, l'IDAPT i4 est loué par le secteur professionnel, et a notamment reçu le premier prix de la catégorie Mobile Consumer Electronics – Fashion & Lifestyle lors du dernier salon technologique CTIA à Las Vegas.

Vendu en ligne au prix de 49,99 euros en différents coloris, l'IDAPT i4 pourrait rapidement vous sembler indispensable.

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