3G : Free va proposer gratuitement des Femtocells à ses abonnés

La stratégie de Free dans les réseaux mobiles se dévoile peu à peu. Alors que l'opérateur déploie des antennes-relais partout en France, Xavier Niel a indiqué lors d'une rencontre avec les représentants des freenautes que son groupe avait l'intention d'offrir des dispositifs femtocells à ses abonnés.

Le déploiement du réseau de Free Mobile ne se limite pas seulement à la pose d'antennes-relais. Le quatrième opérateur mobile détenteur d'une licence 3G compte aussi s'appuyer sur la technologie Femtocell pour améliorer la couverture du réseau dans certaines zones, en particulier dans les foyers ou en entreprise. Et pour accélérer le mouvement, Free compte distribuer gratuitement des Femtocells à ses abonnés.

Univers Freebox rapporte une rencontre entre Xavier Niel et les représentants des Freenautes. À cette occasion, le vice-président et directeur de la stratégie d'Iliad, la maison-mère de Free, a précisé que cette technologie permettra de réduire l'exposition aux ondes électromagnétiques, dans la mesure où ces appareils émettent jusqu'à 30 fois moins d'ondes qu'un mobile captant le réseau avec difficulté.

Les cellules Femtocells seront donc particulièrement utiles à l'intérieur des bâtiments. Mais hormis le fait que l'accès à cette technologie sera gratuit pour les freenautes, aucune autre information n'a pour le moment été communiquée par l'opérateur. La disponibilité de ces appareils reste donc la grande inconnue. Tout juste peut-on supposer que ces dispositifs seront prêts au moment où le réseau de Free Mobile sera bien installé.

L'appui du Femtocell pour étendre et améliorer le réseau 3G de Free Mobile est un dossier ancien chez l'opérateur. La question avait déjà été abordée il y a deux ans, bien avant la présentation de la Freebox Revolution. Récemment, Free a manifesté à nouveau son intérêt pour les cellules Femtocells, dans un document transmis à l'Autorité de régulation des télécoms.

"Free Mobile indique à propos du déploiement des femtocellules que 'ce mode de déploiement, même s'il est à ce jour marginal, pourrait fort bien se développer rapidement dans les années à venir. Cette fonctionnalité étant déjà modélisée, Free Mobile considère qu'il est judicieux de la conserver" avait lors noté l'Arcep, en citant les propos de l'opérateur. Les récentes déclarations de Xavier Niel confirme ainsi cet intérêt.

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Le New York Post en guerre contre l'iPad

Le site du New York Post bloque l’iPad. Par cette décision, le quotidien souhaite promouvoir son application mobile. Lorsqu’un internaute saisit l’adresse du New York Post sur son iPad, il se retrouve face à une page l’invitant à télécharger l’application du journal sur l’AppStore. 1,59 €, c’est le prix de l’application. À cela, il faut ensuite ajouter l’abonnement à 5,49 € par mois ou 62,99 € pour un an. Surtout, cette application était gratuite avant le passage aux contenus payants de la part du journal.

Jusqu’à maintenant, le New York Post se contentait d’inciter ses lecteurs à acheter son application tout en leur permettant un accès à son site Internet. Désormais, c’est de l’histoire ancienne. Les possesseurs d’iPad n’ont plus d’accès gratuit à ce journal en ligne.

Contourner la restriction.

Cette technique que les utilisateurs qualifient de vente forcée n’est heureusement pas incontournable. Aussi, les lecteurs peuvent passer par un navigateur alternatif pour atteindre le site du New York Post. Comme l’explique Staci Kramer, PaidContent, Skyfire et Opera Mini permettent de consulter en toute sérénité le site mobile du New York Post.

Seul l’iPad est concerné par cette restriction. L’iPhone, les tablettes Android et BlackBerry sont hors de cause. Le "NY Post" semble se rapprocher de The Daily, le journal de Murdoch, exclusivement sur iPad. Néanmoins, l’application de ce dernier est gratuite et son abonnement est deux fois moins onéreux.

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Facebook : les détails du service de musique

Le rapprochement entre Facebook et Spotify semble se concrétiser à l’approche du F8, la conférence dédiée aux développeurs, qui se tiendra en août 2011. Facebook semble toutefois chercher d’autres partenaires musicaux en plus de celui-ci, possiblement pour proposer une offre complète lors de sa conférence.

Quelques détails sont déjà connus concernant les plans de Facebook pour son service de musique. Une nouvelle section, baptisée « Musique » se retrouvera sur le site, au même endroit que les albums photo et autres pages des utilisateurs. Elle regroupera les morceaux de musique écoutés par un utilisateur sur un des services de musique partenaires de Facebook. Il proposera ainsi une interface permettant d’écouter directement la musique de ces services directement depuis Facebook, mais également un lecteur qui restera toujours accessible sur toutes les pages du site, à la manière du chat.

Il sera également possible de recommander des chansons à ses contacts, un classement des morceaux les plus écoutés, ou encore une liste des musiques récemment écoutées. Il s’agit d’un des services les plus importants dans les projets de Facebook, qui réfléchit au lancement d’un service de musique depuis près de trois ans déjà. Ces différents partenariats avec des plateformes de musique en ligne lui auront toutefois évité une longue et fastidieuse négociation avec les majors ...

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