Lawless EV : nouveau record de vitesse pour les motos électriques

En avril dernier, un certain Chip Yate a frappé un grand coup en établissant une vitesse record sur moto électrique. Aussitôt établi, aussitôt battu, son record d’accélération vient d’être pulvérisé par Larry « Spiderman » McBride.

Au guidon de sa Swigz, Chip Yate a ébloui l’asphalte du Mojave Mile en étant le tout premier pilote à franchir la barre de 300 km/h sur une moto électrique. En atteignant les 306 km/h, le pilote californien pensait écrire l’histoire des motos électriques mais c’était sans compter Larry McBride alias Spiderman. Vêtu d’un costume de Spiderman, Larry McBride a en effet battu ce record sur sa Lawless EV Racing Rocket, il y a quelques jours. La scène a eu lieu au Virginia Motorsports Park. L’homme-araignée a pu atteindre la vitesse maximale de 300 km/h. Certes, cette vitesse est inférieure à celle de Chip Yate mais elle a été réalisée en seulement 7,24 secondes et sur une distance qui est quatre fois plus courte que celle parcourue par la Swigz.

Conçue par Shawn Lawless, Lawless EV est équipée d’un moteur électrique alimenté par une batterie de 1Megawatt fournissant 1611 chevaux.

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Un véhicule personnel pliable et facile à transporter

Des voitures compactes aux véhicules personnels, tous les moyens sont bons pour se déplacer en ville sans avoir à endurer les embouteillages. Dans ce registre, découvrons le concept Personnal Electric Vehicle, un véhicule qui semble être adapté aux déplacements urbains.

Personnal Electric Vehicle est un véhicule personnel peu conventionnel. Bien qu’elle ressemble plus à un trépied sur roues, avec un guidon et un siège, sa forme est assimilable à celle d’un tricycle. Son siège et son guidon sont pliables et ses trois pieds peuvent se joindre. Personnal Electric Vehicle peut donc être rangé aisément et transporté partout sans encombrer. Le véhicule peut également être utilisé comme un chariot à bagages. On a affaire à un véhicule écologique car, comme son nom le sous-entend, il est équipé d’un moteur électrique alimenté par des batteries rechargeables.

Personnal Electric Vehicle est prévu pour les déplacements de courte distance comme pour aller au métro ou à la station de bus. Le concept a été réalisé par l’argentin Alan Fratoni.

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La bactérie qui frappe l’Europe inconnue au bataillon

Les scientifiques européens ont de quoi s’arracher les cheveux : non seulement la bactérie qui a tué 17 personnes en Allemagne et infecté plus de 1.500 autres en Europe, ne provient finalement pas des concombres espagnols (mais d’une autre source encore inconnue), mais sa souche est inédite, jamais détectée auparavant. Elle pourrait être le fruit d’une mutation, qui la rendrait "plus virulente" encore.

Quelle que soit l’origine exacte de cette bactérie Escherichia coli entérohémorragique bien spéciale, les cas de contamination continuent de se multiplier. Sept nouveaux malades ont été recensés, cette fois en Grande-Bretagne, mais comme à l’accoutumée, ils n’ont pas été infectés sur place, mais en Allemagne. Trois y ont récemment séjourné, et les quatre autres sont des ressortissants allemands. Précision de l’Agence britannique de protection de la santé, pour ne pas envenimer encore une situation qui frise la panique dans l’Europe entière.

Les premiers résultats d’analyses livrés par l’Organisation mondiale de la santé ce matin ne risque pas de rasséréner les consommateurs, puisqu’en substance, on ne connaît toujours pas le légume, ou l’aliment porteur de cette bactérie qui a tué 17 personnes en Allemagne. L’OMS précise surtout que la souche de la bactérie incriminée est inconnue au bataillon. Les analyses génétiques suggèreraient qu’il s’agit d’une forme mutante, porteuse de gènes mortels.
L’Agence Européenne de sécurité alimentaire affirme de son côté avoir identifié la souche de la bactérie... Il s’agit d’une souche rare d’une bactérie Escherichia coli, "0104:H4 (Stx2-positive, eae-négative, hly-négative, ESBL, aat, aggR, aap)", selon un communiqué de de l’ECDC, basé à Stockholm.

Après le concombres, les crudités, fruits et viandes en cours d’analyses.

Ces analyses ont permis cependant de lever le soupçon qui pesait sur le concombre espagnol, ouvrant par ricochet une bagarre diplomatique. Madrid ce matin réclame à l’Union européenne des "dédommagements des préjudices provoqués". Les Pays-Bas et l’Allemagne réclament de leur côté des aides pour leur agriculture impactée directement par la crise. Et la Russie pour ne rien arranger a décrété ce matin un embargo sur les légumes en provenance de toute l’Europe. Une décision "disproportionnée", selon la commission européenne qui compte demander des explications à Moscou.

En attendant, ce sont les chercheurs allemands qui planchent. Ils étudient des centaines d’échantillons. De crudités, de fruits mais aussi de viande. Chaque malade se voit contraint de se rappeler le contenu de son assiette d’il y a dix jours, puisque c’est le temps approximatif d’incubation. L’Institut fédéral allemand pour l’évaluation des risques annonce avoir mis au point un nouveau test, en coopération avec l’Anses, Agence française de la sécurité alimentaire.

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